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  • La part du Subconscient, par Franck Damée
    Est-ce vraiment vous qui décidez de votre vie ? Êtes-vous persuadé que vous êtes libre de choisir ce que vous allez manger ce midi ? Que vous avez le pouvoir de prendre des options au travail ? Nous autres, les humains cartésiens, aimons penser que...
  • www.stop-tabac35.com est né !
    Ma deuxième passion, outre le coaching, est l'hypnose Ericksonienne. Je me suis spécialisée dans l'arrêt du tabac et ai donc créé un nouveau site consacré à cette activité. Je vous invite donc à le visiter : link
  • Changement (s)
    Bien souvent, nous rêvons de modifier nos habitudes et de « faire autrement » pour améliorer ce qui nous semble pesant ou peu sastisfaisant. Nous nous prenons à imaginer un mieux être découlant de ce que nous ferons demain ou dans un futur proche, peuplé...
  • Je me sens trahi (e)
    Vous vous sentiez bien avec cette personne, qu’il s’agisse d’une amie, d’un amant ou d’un mari (on peut aussi parler d’ami, de maitresse ou d’épouse) ou même d’un simple collègue. Vous partagiez tellement de choses ! Vous aviez investi la relation, donnant...
  • Quand je serai grande, je serai ...parfaite !
    Petite, j’étais une enfant sage. De celles que l’on n’entend jamais, qu’on oublie même parfois, de celles qui ne posent pas de problèmes. A l’école, j’étais bonne élève, soucieuse de collectionner des bonnes notes qui me vaudraient un bulletin élogieux....
  • Image de soi et estime de soi au féminin
    J'ai aimé cette expérience faite aux Etats Unis. Un dessinateur demande à des femmes de se décrire telles qu'elles se voient et il les dessine selon les éléments qu'elles lui fournissent, sans les voir. Puis l'expérience est reproduite mais, cette fois,...
  • Stress quand tu nous tiens...
    Le stress est une réponse à une situation à laquelle on ne sait pas ou on ne peut pas s’adapter. Il peut s’agir aussi d’une réponse face à une situation que l’on ne comprend pas. Le stress diminue lorsqu’une information claire ou une solution apparait....
  • légende hindoue
    Lorsqu'ils eurent terminé de créer l'univers, les dieux rencontrèrent une difficulté : où devaient -ils dissimuler la vérité ? Sur la plus haute des montagnes ? Tout au fond des mers ? Sur la face cachée de la lune ? Au final, écoutant leur facétie, ils...
  • Je veux être heureux au travail !
    J'aimerais vous faire partager une lecture hautement intéressante. Mon amie Nathalie Olivier vient de faire paraître un nouvel ouvrage, destiné à ceux qui souhaitent trouver le travail de leurs rêves. Il parle beaucoup de changement et de la manière dont...
  • Mes meilleurs voeux 2013
8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 11:30

Il suffit souvent de croire en soi pour réussir de grandes choses. A trop demander d'avis ou de conseils à son entourage, on arrive à se convaincre de ne rien faire...pour le regretter ensuite.

 

 

 

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 16:44

J'ai déjà parlé du bonheur : il est propre à chacun. Aujourd'hui, je vous livre quelques clés pour vous permettre de le trouver.

Maitriser son bonheur, c'est d'abord s'accorder le droit de l'éprouver. C'est à vous qu'il appartient et à vous seul. C'est donc à vous de déterminer ce qui vous fait plaisir et de vous créer autant d'occasions que vous le pouvez d'être heureux .

Mais comment faire ?

 

Etablir des priorités

Déterminez ce qui vous manque le plus aujourd'hui pour être heureux. Choisissez les changements à opérer en premier et commencez tout de suite à travailler sur ce qui vous importe le plus.

 

Commencer maintenant

Listez tout ce que vous pouvez faire dès maintenant pour vous sentir plus heureux. Des choses simples et concrètes.

Exemples : sourire, écouter de la musique qui vous détend, appeler quelqu'un qui vous manque ou avec qui vous vous sentez bien, terminer une tâche que vous repoussez toujours, dire "je peux", déguster un café ou un carré de chocolat en se concentrant sur les sensations éprouvées, se détendre dans un bain...

 

Enclencher le changement

Démarrez votre journée en choisissant une action dont le but est de vous rendre plus heureux ( et non pas "moins mal, stressé, agacé..." MIEUX). Une action parmi celles-ci ou d'autres qui vous conviennent mieux :

Aujourd'hui, je ne retiendrai que les paroles gentilles, je ne me mettrai pas en colère, je serai plus indulgent, je sélectionnerai mes tâches par ordre de priorité, je ferai des choix positifs....

 

S'y tenir

Une fois que vous avez décidé de ce comportement, saisissez toutes les occasions d'agir. Résistez aux habitudes familières et tentez de nouvelles attitudes qui vous paraitront plus adaptées aux circonstances.

 

 

Garder le cap et son objectif en tête

Qu'allez-vous faire aujourd'hui pour vous sentir plus heureux à la fin de la journée ? Ce soir, que direz-vous, que penserez-vous, qu'est-ce que vous aurez réussi à faire pour ressentir du plaisir ?

 

Savoir dire non

Refusez tout ce qui peut s'opposer à votre besoin d'être heureux. Ne dites pas oui si vous pensez non. Agissez en accord avec vous même, tout en restant cordial et courtois

 

Savoir dire oui

Acceptez de nouvelles expériences et tentez de déterminer si elles peuvent vous satisfaire. Ouvrez l'oeil et l'esprit à toutes les opportunités.

 

Pensez positif

Bannissez toutes les structures négatives de votre langage : je ne sais pas, je ne peux pas, je ne veux pas, le problème c'est, je n'ai pas confiance en moi...

Remplacez les par : je vais essayer et apprendre quelque chose de nouveau qui me plaira peut-être, je peux m'améliorer, j'ai d'autres talents, le défi du jour c'est..., je peux être, je peux faire....

 

A la fin de votre journée, faites l'inventaire de toutes les choses positives qui vous sont arrivées. Félicitez-vous pour chaque avancée et, dès demain, recommencez...

 

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 09:12

Merci à Isabelle du blog Coteàcoach de m'avoir fait partager cette vidéo qui illustre si bien comment nous nous laissons paralyser par  nos peurs. Pour les vaincre, il suffit parfois de le décider...

 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 18:51

Parfois, les mots sont inutiles. Cette petite video montre l'essentiel d'un accompagnement.

Je précise toutefois que je ne porte jamais de casquette et que je suis beaucoup plus féminine que le coach en question...

 

 

 

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:33

 


 

 

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 18:39

Ca faisait déjà un moment que vous aviez envie de modifier un certain nombre de choses qui ne vous satisfaisaient pas dans votre vie. Aujourd’hui, vous êtes décidé et il va y avoir un méchant changement ! A la casse, les grands principes ! Et les objectifs inatteignables, à la poubelle ! Je veux tout métamorphoser et repartir de zéro. Ca y est ! C’est parti …

Bon, mais je commence par quoi ? Virer les amis qui ne comprennent pas ce besoin ? Changer d’orientation professionnelle ? Déménager ? Me teindre en blonde ? Divorcer ? Acheter une décapotable ? Les options se bousculent et je ne sais pas ce qui me correspond vraiment…

 

Pour révolutionner sa vie en une heure, point n’est besoin de se métamorphoser en quelqu’un d’autre : modifier son point de vue et ses perspectives peut suffire. Je vous vois esquisser un sourire en coin…Pfff ! Facile ! Pas besoin d’écrire 3 pages pour nous faire découvrir ça !

 

Eh bien, si. Parfois, les plus grandes révolutions commencent par un événement insignifiant ou presque. Et pour vivre différemment, il vous suffit de modifier des petites habitudes ancrées et d’agir de manière autre que quotidiennement :

 

52111658_8b1fad03dc.jpg           1.       Chassez le ronron

 

Traquez les gestes machinaux effectués sans y penser, mécaniquement : je suis à peu près certaine que vous vous lavez  toujours dans le même ordre…et votre thé matinal, avant ou après la douche ? Vos tartines, beurre ou confiture ? Non, quand même pas du Nutella !

Et si vous inversiez l’ordre dans lequel vous accomplissez ces gestes routiniers ? Si vous profitiez du soleil pour aller travailler en vélo ? Ou en covoiturage ? Si vous pique-niquiez ce midi au lieu de vous rendre à la cafétéria ou au restaurant ? Si vous faisiez vos courses dans un autre supermarché ou chez le commerçant du coin de la rue ? Et si aujourd’hui, vous vous mettiez en jupe ? Les garçons, eux, ne sont pas obligés : ils peuvent porter une chemise plus colorée ou arborer une montre sport avec leur costume trois pièces…

Vous l’aurez compris, changer l’ordre dans lequel on effectue ces menues tâches permet de réintroduire un peu de saveur dans le quotidien. On agit consciemment et, de ce fait, on modifie sa perception. L'intérêt s’éveille, on devient attentif à ce que l’on fait ou aux nouvelles sensations qui s’offrent à nous. Ce mini-changement est souvent l’équivalent d’un week-end passé dans un autre environnement, avec des gens différents ou en tête à tête : on se sent reposé, requinqué. Ça fait du bien au moral…

 

354477856_f3755ce242.jpg         2.       Lancez-vous des défis

 

Qu’il s’agisse de perdre 3 kilos ou de se remettre au jogging, l’essentiel est de le décider et de le faire ! Avoir un objectif précis remet du sel dans un quotidien fade et inodore. Encore faut-il qu’il soit réaliste et à votre portée. Lorsque vous l’avez déterminé, voici le plan d’action à mettre en œuvre :

-          Fixez-vous une date de fin. L’objectif sera atteint le …

-          Quels obstacles pourraient m’empêcher de l’atteindre ?

-          Comment vais-je les contrer ?

-          Qui peut m’y aider ?

-          Quelles actions vais-je mettre en place pour l’atteindre ? Dans quel ordre ?

-          Fixez-vous des objectifs intermédiaires pour vous permettre de mesurer votre progression.

Très important : n’oubliez pas de vous féliciter chaque fois que vous progressez et, pourquoi pas, récompensez-vous, si cela vous motive davantage.

 

5628225166_8061d5d400.jpg           3.       Open your mind

 

Un changement bien géré passe aussi par un nouveau regard sur le monde qui nous entoure. Il peut s’agir de modifier son point de vue sur son entourage : profiter davantage des gens que l’on aime et le leur dire, parler à la caissière du supermarché ou décider d’aborder le nouvel intérimaire sans attendre qu’il vous salue d’abord…

 Envisager les autres comme un monde à découvrir et décider d’explorer ce nouveau territoire, sans jugement, juste pour voir, pourrait bien vous ouvrir des perspectives étonnantes.

 

4832447162_4a5892bed5.jpg            4.       Savoir dire non

 

Ces trois petites lettres ont un pouvoir immense quand elles sont judicieusement employées. Essayez de les utiliser chaque fois que vous dites oui et que votre for intérieur vous crie le contraire. Soyez honnête avec vous-même : l’autre trouvera bien une solution. Inutile de vous fâcher pour en faire usage : accompagné d’un sourire, le NON  passe très bien. Essayez…

Le OUI, quant à lui, sera réservé à toutes les occasions nouvelles dont nous avons parlé un peu plus haut.

 

 

Pour finir, il vous aura fallu une dizaine de minutes pour lire cet article (je compte celles que vous avez prises pour ricaner…). Il vous en reste donc quarante pour mettre au point votre nouvelle stratégie de changement. Vous voyez, révolutionner votre vie peut même vous prendre moins d’une heure !

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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 11:16

A utiliser sans aucune modération : c'est bon pour le moral !

 

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 09:36

Il sonne. Vous accourez. Il vibre : sourire coincé et regard d’excuse, vous consultez brièvement le texto qui s’affiche et répondez illico. Faut pas faire attendre : c’est de l’instantané, vous comprenez ?

Eh bien non, je ne comprends pas. Vous êtes là, face à moi et nous avons une discussion. Enfin, je croyais… parce qu’en réalité, c’est avec lui que vous discutez, quelle que soit l’identité qui se cache sous le sms et la voix aseptisée du répondeur.

Ah ! Mais vous avez des amis, vous … Moi aussi, mais naïve que je suis, je pensais que communiquer avec eux signifiait échanger, les yeux dans les yeux ou cœur à cœur… parfois même (je suis folle) débattre sur des sujets passionnants où nos avis divergent et où nous pouvions apprendre l’un de l’autre dans une discussion constructive.

Il faut vivre avec son temps, me dites-vous. TOUT LE MONDE fait ça ! C’est pratique, indispensable, on gagne du temps, blablabla…

Et bien moi, je revendique de ne pas être de mon temps. Je veux mes amis tout à moi, égoïstement, le temps qu’ils sont avec moi. Je ne veux pas partager, encore moins avec un outil tactile et exigeant.

Je veux communiquer, bêtement, avec ce que la nature m’a donné, et que vous en fassiez autant, au nom de l’amitié qui nous unit.

« Gaston, ya l’téléfon qui son…p’t’être bien qu’c’est importon »

Et peut-être que ça peut attendre un peu, non ?

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 18:31

3. je contrôle mes relations (professionnelles et amicales)

 

L’être humain ne peut vivre seul. Il a besoin des autres : partager avec eux (oh que c’est noble !), se comparer à eux (ouf ! je suis mieux), les dominer (le pauvre, il n’a vraiment pas de chance !) fait partie du quotidien du contrôleur relationnel. Pour se situer, il doit se mesurer. Or, l’autre constitue souvent un danger potentiel contre lequel  il lui faut s’armer.

Deux types se dégagent.

Le premier va tenter de dominer la relation en tissant des liens affectifs très forts : qui n’est pas avec lui est nécessairement contre lui. Il s’impose, il admoneste, a des points de vue tranchés, ne rechigne pas devant le conflit (qui aime bien châtie bien…), il n’a peur de personne et n’hésite pas à se montrer intrusif (même sous une forme affectueuse et maternelle).  D’ailleurs, on le craint et on l’estime plus qu’on ne l’aime.  Il le sait et en souffre, donc il renforce encore son agressivité. Pour lui, dominer signifie maintenir à distance tout en s’assurant d’une emprise affective en cas de danger avéré.

Le second se positionne en dominé. Il va contrôler la relation en évitant toute opposition. Il évolue tel un caméléon, dans le plaisir de l’autre, sans jamais évoquer ses désirs ni ses émotions. Une relation vraie supposerait d’avancer à égalité, donc à découvert, ce dont il est incapable car il a peur d’être jugé. Son comportement crie le désir d’être aimé mais se traduit par une négation totale de sa personnalité. Pour être accepté, il se fond dans l’autre.

Les contrôleurs relationnels ne savent pas écouter leurs besoins ni leurs désirs. Ils sont à l’affut de ceux des autres, qui leur permettent de se positionner.  Lâcher –prise au niveau relationnel signifie être conscient de sa propre valeur, de sa réalité, de ses défauts et de ses qualités et permettre à l’autre d’échanger réellement, c’est-à-dire de ne pas nécessairement être d’accord mais de vous aimer malgré cela, pour ce que vous êtes.

Et pour aller plus loin :

Comment vous positionnez-vous vis-à-vis de vos amis, collègues, famille et relations ? Etes-vous dominé, dominant ou à égalité ?

Si vous vous positionnez en dominant ou en dominé, identifiez ce qui vous fait peur. Qu’avez-vous à perdre à vous montrer comme vous êtes réellement ?

Si vous êtes dominé dans la relation,  exercez-vous avec des personnes de confiance à dire ce que vous aimez ou que vous n’aimez pas, à exprimer une préférence, à expliquer pourquoi. Dites Non, je n’ai pas envie et restez à l’écoute de vos vrais désirs.

Si vous êtes plutôt dominant, acceptez que le monde ne tourne pas autour de votre ego. Si l’autre vous ignore, c’est qu’il a peut-être des préoccupations qui l’empêchent momentanément de s’intéresser à vos états d’âme. Prenez le temps d’écouter sans juger. Dites quelle est votre position sans exiger un accord immédiat de votre partenaire. Un avis différent peut vous ouvrir de nouvelles perspectives.

Pensez à donner, sans rien attendre en retour. Plus vous serez disponible et ouvert, plus vous serez apprécié et sollicité.( Mais sachez mettre des limites pour ne pas être envahi). Si vous considérez l’autre pour ce qu’il est, imparfait, il vous acceptera également pour ce que vous êtes, imparfait vous aussi… et si attachant !

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 15:55

Contrôler le temps

 

« Qu’il est doux de ne rien faire quand tout s’agite autour de soi ! » mais que c’est difficile aussi ! Un bon maître du temps vit avec un agenda bien rempli et se charge de combler celui de ses collaborateurs, de ses enfants, de ses week-ends et de ses temps « libres ». Ne rien faire, pour lui, c’est perdre son temps. D’ailleurs, il n’a jamais le temps de rien. Et le temps, c’est de l’argent.

Regardez-le en vacances : il a fait ceci, cela ; est allé ici ou là. Il s’est bien occupé et a instauré la sieste obligatoire pour ménager des temps de récupération active. Même ses vacances sont productives ! Il a bien sûr téléphoné au bureau pour s’assurer que sa secrétaire prévoyait ses rendez-vous de rentrée et consulté chaque jour ses mails pour ne rien rater. Il est fier de lui : il est bien organisé.

Les individus, aujourd’hui, ne sont que ce qu’ils font. Il est donc normal de chercher à multiplier les activités pour exister, être. Les nouvelles technologies, qui maintiennent des liens permanents avec l’extérieur, accentuent la confusion entre les sphères privées et professionnelles. Le temps devient donc un élément précieux qu’il faut maîtriser pour pouvoir tout faire.

Cesser de contrôler, c’est justement prendre le temps de ne rien faire. Rien de productif. Rien de visible. C’est s’accorder un temps d’ennui, de réelle vacance, où l’esprit vagabonde et se déconnecte de son entourage. Se donner le temps de rêver pour mieux donner du sens ensuite à ce que l’on fait. Etre à l’écoute de soi et de ses envies. Profiter du moment présent et sourire à sa vie. Un réel lâcher-prise, même de quelques minutes, est une pause qui permet de se relancer dans l’action avec davantage d’énergie et de motivation : on sait qui on est et pourquoi on fait ce que l’on fait. On ne le subit plus.

Un maître du temps a peur de manquer quelque chose s’il ne contrôle pas les jours et les heures : sa culture, sa carrière, son image, son compte en banque,  l’avenir de ses enfants... Il pense toujours plus loin, demain ou dans dix ans, et oublie que  c’est au présent qu’il vit. Ici et maintenant.

 

Et pour approfondir

Est-il plus important pour vous d’ETRE (en forme, de bonne humeur, compréhensif, à l’aise…) ou de FAIRE ?

Que feriez-vous de votre temps si vous n’en manquiez pas ?

Parmi toutes ces choses, quelle est celle qui vous semble le plus vous manquer aujourd’hui ?

Qu’attendez-vous pour le faire ? De quoi avez-vous peur ? Qu’avez-vous à perdre ? Qu’avez-vous à gagner ?

Quand commencez-vous ? (Fixez une date…récurrente)

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